mercredi 26 décembre 2007

Peut être une nouvelle taxe sur Internet

Les députés
prévoient de taxer les recettes publicitaires des sites qui diffusent
des vidéos. Ces revenus serviront à financer le cinéma. Les
fournisseurs d’accès montent au créneau.


Dailymotion va devoir
passer à la caisse. Pour financer la production cinématographique, les
députés ont adopté jeudi dernier un amendement à la Loi de finances
rectificative pour 2007, qui prévoit d’instaurer une taxe de 2% sur les
recettes publicitaires des sites proposant de la vidéo, aussi bien
gratuite que payante. Sont concernées les plates-forme de vidéo, comme
Dailymotion ou Glowria, mais pas seulement. Dès lors qu’il est établi
en France, n’importe quel site internet « qui met à disposition du
public […] des œuvres ou documents cinématographiques ou audiovisuels »
tombe sous le coup de la loi, précise l’amendement 91 défendu par
Marie-Hélène des Esgaulx, députée UMP de Gironde, et Jérôme Chartier,
député UMP du Val-d’Oise.


Le champ d'application de cette mesure est « extrêmement large »,
confirme à l’AFP Dahlia Kownator, déléguée générale de l’Association
des fournisseurs d’accès et services internet (AFA), qui dénonce un
amendement qui « n'a fait l'objet d'aucun débat préalable ni
concertation avec les professionnels ». Ainsi, « tout service internet
installé en France comportant de la vidéo et de la publicité serait
concerné par ce prélèvement », ce qui comprend les sites de presse en
ligne, les sites personnels ou les blogs. Et ce pour tous les types de
vidéos, y compris personnelles, et peut-être même pour la musique,
assimilable à de l’audiovisuel, redoute Dahlia Kownator. « Au final,
c'est la quasi-totalité des recettes publicitaires de l'internet
français qui serait taxée à hauteur de 2% », avertit-elle.


« Une propension bien française à taxer des activités émergentes »


Si le texte de l’amendement manque peut-être de précision, son
exposé cible pourtant bien les services de vidéo à la demande qui
commercialisent de la publicité « liée à son service […], par exemple
sous forme de bandeau publicitaire sur les pages d’accueil ». Débattu
en commission, cette proposition de taxe a été accueillie fraîchement
par le rapporteur général, l'UMP Gillez Carrez, qui a regretté « la
propension bien française à taxer des activités alors qu’elles émergent
à peine ». Ce à quoi la députée Marie-Hélène des Esgaulx a répliqué
qu'il « convenait de préserver la cohérence d’ensemble du financement
du secteur audiovisuel ». En clair, les sites internet doivent
contribuer comme les autres. L’amendement a donc été adopté par la
commission des finances puis par l’Assemblée, où le ministre du Budget,
Eric Woerth, n’a pas bronché. Mercredi, ce sera au tour des sénateurs
de se pencher sur le texte.

dimanche 23 décembre 2007

La Wiimote sauce Minority report

La Wii de Nintendo est la console qui se vend le mieux en ce moment. Toutefois, de nombreuses personnes pensent et affirment que l’on arrive déjà au bout des capacités de la moins chère des consoles “Next Gen“. Voici 3 vidéos qui démontrent facilement les futurs applications utilisant une wiimote. Cela ouvre énormément de possibilité pour ce qui est des jeux et applications utilisant des photos.


2nde vidéo : Ou comment utiliser la Wiimote et un projecteur pour se passer de souris sous windows, ou sur des jeux.

On se rapproche beaucoup de la table multimédia sensible au toucher avec toutefois l’avantage de nécessiter un budget nettement mois élevé.
On imagine facilement les applications à la façon de “Minority Report” sur les murs !



3ème vidéo : Comment transformer sa télévision en véritable fenêtre sur le monde virtuel.

Une télévision est une image “plate” : quelque soit l’angle de vision de l’utilisateur, il verra la même chose. Lorsque l’on regarde par une fenêtre, selon l’angle de vision, on ne voit pas la même chose. En utilisant une Wiimote fixée sur la télévision et le capteur sur une casquette ou des lunette, on peut reproduire le schéma de la fenêtre sur l’écran.

Conclusion

Je pense sincèrement que l’auteur de ces tests : Johnny Chung est un petit génie qui va très certainement intéresser les ingénieurs de Nintendo (à moins qu’ils aient déjà développé les applications utilisant le même procédé). Tous les codes sources pour réalisé les expériences sont codé en C# et sont libres.

A toutes les personnes qui se demandait si la fin de la Wii et qui clamait qu’on avait déjà fait le tour de la console, je leur répondrait que Nintendo risque encore de bien nous surprendre avec les prochaines extensions qu’ils sortiront pour la console. Certes, graphiquement çà n’atteindra jamais la PS3 mais ludiquement et techniquement, les possibilités offertes par la Wiimote sont de plus en plus impressionnantes !



vendredi 21 décembre 2007

Mixé en ligne

faite votre morceau techno
Içi

lundi 17 décembre 2007

La 1ere fenêtre Oled?

Les moniteurs OLED tardent à arriver ? Qu’à cela ne tienne, on devrait tout de même bientôt pouvoir acheter des dalles OLED. OSRAM vient en effet de présenter une première lampe d’intérieure utilisant cette technologie de manière très originale. Allumée, c’est une dalle lumineuse parfaitement uniforme. Éteinte, c’est une vitre parfaitement transparente !

OSRAM OLED OPAL


Esthétique

Quelques chiffres pour satisfaire votre curiosité : la luminosité de la dalle est de 1 000 cd/m², sur une surface de 90 cm² et la transparence de la dalle OLED éteinte est de 55 %. OSRAM pense même pouvoir atteindre 75 % d’ici la commercialisation. De plus, l’émission lumineuse peut être dirigée de tous les côtés ou concentrée à partir d’une seule face. On peut donc imaginer des plafonds devenant lumineux le soir, voire même des fenêtres lumineuses à la nuit tombée.

et écologique à la fois

Cette lampe OLED a aussi pour avantage une assez bonne efficacité énergétique, puisqu’elle émet environ 20 lumens de lumière par watt d’électricité consommée, soit à peu près 1,5 fois mieux qu’une ampoule à incandescence classique. On est malheureusement encore loin des tubes fluorescents ou des ampoules fluocompactes (plus de 60 lm/W). OSRAM n’a malheureusement pas indiqué de date de commercialisation pour ce bel objet. Une nouvelle Arlésienne ?

jeudi 13 décembre 2007

La douche du futur

Voici ce que pourrait être la douche du futur. Une douche qui en plus d'être très stylée, est économique en eau et en énergie de par son système qui vaporise un brouillard de micro-gouttelettes d'eau.
Imaginé par un jeune étudiant en design Brésilien "Joao Diego Schlmansky", ce concept de douche fait partie des 8 finalistes du concours organisé par Electrolux : "2007 Electrolux Design Lap competition".Ce concours focalisait d'ailleurs beaucoup sur les problématiques d'économies d'eau, d'énergie, de matériaux dans leur domaine d'activité.
Cette douche est économique tant au niveau de la consommation d'eau qu'au niveau énergétique pour chauffer l'eau, les gouttes étant beaucoup plus petites, la quantité d'eau à chauffer est donc moindre. D'après son designer, elle permettrait d'économiser jusqu'à 10 fois notre consommation d'eau, une douche de 5 minutes ne nécessitant plus que 2 litres d'eau contre en moyenne 20 litres d'eau avec nos douches actuelles. Bref une innovation intéressante, écologique et belle de surcroît...je ne demande qu'à essayer, ça doit être sympa ce brouillard au réveil ! ;-)
electrolux-fog-shower.jpg

lundi 10 décembre 2007

Des légo....pas pour les enfants

Quand j'étais petit, ça a commencer par une voiture et sa caravane.....
Je sais pas pour lui!
lego1.jpglego2.jpglego3.jpglego5.jpglego6.jpglego7.jpg
lego8.jpglego9.jpglego10.jpglego12.jpglego13.jpglego16.jpglego20.jpglego21.jpg

vendredi 30 novembre 2007

Ces sites qui nous trahissent

Les
sites de socialisation, en plein essor, présentent des risques pour la
sécurité de leurs usagers, du "spam" ciblé à l'usurpation d'identité,
mettent en garde des experts, prônant la vigilance dans le partage
d'informations privées. De plus en plus populaires, "phénomènes de
l'internet", à l'instar de MySpace ou Facebook, qui se targue d'attirer
chaque jour 250.000 nouveaux membres, ces sites fourmillent de données
susceptibles d'être utilisées à des fins malveillantes.


D'où vient la demande
Pour
différents spécialistes, c'est le comportement des utilisateurs qui
poserait problème, certains communiquant des informations privées avec
une étonnante facilité. Selon une récente étude réalisée par la firme
britannique de sécurité informatique Sophos, 41% des utilisateurs de
Facebook sont prêts à révéler des données personnelles sans contrôler
d'où provient la demande. Sur 200 utilisateurs choisis au hasard, 87
ont répondu à un parfait inconnu, créé par Sophos, lui donnant dans la
majorité des cas accès à des photos de famille ou d'amis, des
informations sur leurs goûts, leurs hobbies ou leur profession,
certains ajoutant un CV complet, relate la société.

Spams
Or des pirates risquent de "récupérer ces données pour les revendre à des spammeurs qui procèdent à des attaques spams
(courriers indésirables, ndlr) ciblés", prévient Gaël Barrez, directeur
commercial anti-fraude de RSA Security, spécialisée dans la sécurité
informatique. "Si l'on a accès à des profils précis d'utilisateurs, il
est possible d'utiliser des logiciels profilant les habitudes de
consommation pour spammer", ajoute Pascal Lointier, président du Club de la sécurité des systèmes d'information français (Clusif).

Messages personnels
Outre
les "spams" à visée commerciale, la publication d'informations
confidentielles accroît le risque de diffusion de virus. "Sur ces
sites, il est très simple d'envoyer des messages personnels à des
utilisateurs en leur donnant l'impression qu'on les connaît, grâce aux
informations qu'ils ont diffusées", note Michel Lanaspèze, directeur de
la communication de Sophos France. "Et s'il croit connaître quelqu'un,
l'usager hésitera moins à cliquer sur un lien, sans savoir qu'il est
infecté", ajoute-t-il.

Usurpation d'identitéSelon
plusieurs spécialistes, il serait même possible, grâce aux données
confidentielles publiées sans précaution, d'usurper des identités.
Toutes les informations privées mises en ligne peuvent aider un
criminel à deviner le mot de passe d'un utilisateur ou à se faire
passer pour lui, indique-t-on chez Sophos. "Votre date de naissance et
l'endroit où vous vivez est suffisant pour que quelqu'un obtienne une
carte bancaire à votre nom", a souligné Tony Neate, à la tête d'une
récente campagne d'information en Grande-Bretagne sur le sujet.

Options de confidentialité
"Beaucoup
de gens font sur internet ce qu'ils ne feraient pas dans la rue: donner
des informations confidentielles à de parfaits inconnus", résume
Guillaume Lovet, expert en criminalité chez Fortinet. Les sites de
socialisation disposent le plus souvent d'options de confidentialité et
les usagers doivent penser à les utiliser, souligne Sophos. Autre
précaution prônée par les experts: choisir des mots de passe
différents, lorsqu'il s'agit d'accéder à sa messagerie ou à d'autres
comptes. Car "si un site de socialisation était piraté, des millions de
mots de passe se retrouveraient dans la nature", prévient Guillaume
Lovet. (afp)

dimanche 25 novembre 2007

Trouver des fichiers en téléchargement dans Google

Tapez ceci dans le champ de recherche ...

"Artiste" last modified mp3 intitle:"index of" -html -htm -php -asp
(le "-html" sert à éviter ce type de fichier)
ou ...
"Artiste" last modified mp3 "index of" -html -htm -php -asp
ou bien encore ...
?intitle:index.of? "nom_du_fichier" .mp3

Vous pouvez évidement remplacer le ".mp3" par n'importe quoi

samedi 24 novembre 2007

Mesures de répression pour le téléchargement

Une quarantaine de pages, une quarantaine de signataires d’acteurs d’Internet et des industries culturelles et une mesure choc : la privation d’Internet pour les téléchargeurs multirécidivistes. Voilà le résultat de la mission Olivennes, du nom du PDG de la Fnac, dont le rapport a été remis vendredi en grande pompe à Nicolas Sarkozy à l’Elysée, en présence des ministres de la Culture, Christine Albanel, de l’Economie, Christine Lagarde, et de la garde des Sceaux, Rachida Dati. Façon sans doute de souligner que la justice apportera tout son concours à l’application d’un nouveau volet répressif totalement inédit. Devant des patrons de majors comme le PDG d’Universal, Pascal Nègre, des sociétés d’auteur comme la Sacem, de professionnels du cinéma (Guy Verrechia d’UGC, Nicolas Seydoux de la Gaumont, le réalisateur Claude Berri) mais aussi d’artistes tels Patrick Bruel ou Marc Lavoine, Nicolas Sarkozy a salué des mesures qui, dit-il, vont aider à instaurer un «Internet civilisé» en France. Après avoir improvisé sur les grèves – à l’étonnement de la centaine de convives présents, Nicolas Sarkozy a salué un accord «équilibré et solide» et fustigé le piratage assimilé à «des comportements moyenâgeux où, sous prétexte que c’est du numérique, chacun pourrait librement pratiquer le vol à l’étalage».

Le constat

Pour Denis Olivennes, l’objectif est atteint. Faisant le constat que la France est un des pays où l’Internet à haut débit est le plus développé, la pratique du téléchargement illégal parmi les plus répandues et les industries culturelles les plus fortes de la planète, il entendait «désinciter» les internautes au piratage en le rendant «coûteux et compliqué». Alors que l’industrie du disque a enregistré une nouvelle baisse de son activité de 22 % sur les neuf premiers mois de l’année et que les ventes de DVD commencent à baisser dans l’Hexagone, la mission fait le pari, en se basant sur des exemples étrangers, que de simples avertissements suffisent dans la majorité des cas à dissuader les internautes de s’adonner à ces pratiques illégales. Aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, les messages d’avertissement expérimentés par Time warner Cable ou Bristish Telecom ont suffi dans 90 % des cas, selon le rapport, à mettre fin à ces pratiques.

le dispositif

De ce constat naît l’idée d’un retour à une riposte graduée, nouvelle mouture inspirée notamment de la politique mise en place pour le permis de conduire : deux messages d’avertissement puis le passage aux sanctions. La mission recommande une première suspension de l’abonnement de dix à quinze jours en cas de récidive puis, stade ultime, une résiliation du contrat de l’abonné et son «blacklistage» sur un fichier des interdits d’Internet d’une durée non définie mais qui pourrait tourner autour d’un an.

«Je veux bien que l’on m’accuse d’être liberticide, ironise Olivennes, mais quatre avertissements pour en arriver là, ça ne me paraît pas être un régime de sanctions digne de la Chine ou de la Corée du Nord.» A qui incombera-t-il de constater le délit et d’en apporter la preuve ? Afin d’éviter tout soupçon de mise en place d’une police privée des réseaux, l’accord propose la création d’une autorité administrative indépendante. Placée sous le contrôle d’un juge «en sorte de garantir les droits et libertés individuelles», c’est à elle qu’il reviendra d’avertir les fautifs puis d’ordonner la coupure de leur abonnement aux fournisseurs d’accès en cas de récidive. Un dispositif préféré à celui des amendes dont il reste à peaufiner les contours – qui du juge ou de l’autorité ordonnera les sanctions – mais qui s’annonce de grande ampleur. «On a opté pour un système plus dissuasif que répressif mais il ne sera efficace que si son application est massive et systématique», prévient Denis Olivennes. A bon entendeur, salut !

Les critiques

Dissuasif pour ses partisans, le système instaure surtout un «gouvernement par la peur» pour ses détracteurs. Dès vendredi, de nombreuses voix se sont élevées pour condamner ces mesures. Alors que la ministre de la Culture, Christine Albanel, les juge «très raisonnable et éloignée du tout répressif», l’UFC-Que choisir évoque une «surenchère répressive». Si l’opposition condamne les mesures par la voix des députés socialistes Christian Paul et Patrick Bloche, qui évoquent des réponses «inquiétantes» et «la tentation de surveillance permanente du Net, en dehors de tout crime ou procédure judiciaire», quelques voix de la majorité y vont aussi de leur couplet anti-Olivennes. Les députés UMP Marc Le Fur et Alain Suguenot «déplorent et condamnent» la création de cette «autorité publique qui aurait compétence pour prendre des sanctions à l’encontre des internautes téléchargeurs» au nom du refus de «cette véritable juridiction d’exception».

les voies de contournement

Reste à mesurer l’efficacité de telles mesures qui passeront par le parlement et dont le coût financier pourrait être élevé. Divers spécialistes mettent déjà en garde contre les innombrables moyens de contourner ces mesures. Selon eux, les grands réseaux d’échange publics que sont les systèmes de pair à pair (P2P) vont se transformer en réseaux privés de type Darknet cryptés et anonymisés. «Le P2P n’est que la partie émergée de l’iceberg», juge l’un d’entre eux qui évoque également le recours possible au wi-fi et au détournement des adresses IP – le spouffing – afin de contourner ces mesures.«Nous n’avons jamais dit que nous allions éradiquer le piratage, conclut Olivennes, mais seulement le rendre plus compliqué et plus coûteux pour les petits téléchargeurs ordinaires. Si c’est le cas, je considère que nous aurons rempli notre rôle.»


(Copie d'un article paru dans libération le 24/11/07)

jeudi 22 novembre 2007

Photos de la station spatial internationale

Photographié par la navette Endeavour...j'ai l'impression que l'espace n'interresse plus grand monde!http://earthobservatory.nasa.gov/Newsroom/NewImages/Images/STS118-E-9469_lrg.jpg

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mercredi 21 novembre 2007

La taxe sur les disque-dur votée

Comme prévu, la commission
d’Albis s’est réunie hier pour se pencher sur les
prochains supports imposés à la
rémunération pour copie privée. Ordre du jour ? la
ponction, chargée à son origine de pallier les ravages de
la copie privée, sur les disques externes non professionnels,
les clefs USB (sans fonction de lecture MP3), et les
cartes-mémoires.



Voici en avant-première les chiffres votés hier
après quatre heures d’âpres négociations :


clé usb Cléf USB :

1 Go : 23 cts

2 Go : 36 cts

5 Go : 72 cts

10 go : 1,30 euro

16 Go : 2 euros

sdhc pny Pour les cartes-mémoires :

1 Go : 9cts

2 Go : 18 cts

5 Go : 36 cts

10 Go : 62 cts

16 Go : 95 cts

Lacie ethernet big disk 2To Les disques durs externes :

160 Go : 6,44 euros

200 Go : 6,68 euros

320 Go : 9,16 euros

400 Go : 11,00 euros

1 To : 20 euros



En guise de
maigre consolation, les ayants droit ( SACEM, etc.) ont accepté
de baisser la ponction sur les DVD vierges de 1,10 à 1 euro. Un
recul à relativiser puisque « plus de 50% du marché du DVD est un marché gris (importation depuis les pays d’Europe qui ne connaissent pas la taxe)
».



"ils vont pourrir le marché du disque dur externe"



Précision de
rigueur, ces chiffres s’appuient sur le montant hors taxe. Il
faut encore ajouter la TVA et les marges de distribution.
« Si on regarde le prix public, la TVA, les marges de distribution, les disques durs vont augmenter de 15 à 17% ! »
anticipe-t-on. Aux 20 € de taxe sur un disque dur de 1 To, il
faudra donc rajouter ces coûts intermédiaires et surtout
la TVA de 19,6%.



Par effet mécanique, on craint un marché gris « énorme ». « Avec
des frais de port de 10 euros, les consommateurs iront
s’alimenter en Belgique. Ils ont pourri le marché du DVD,
ils vont pourrir celui du disque dur externe
», regrette pour sa part Bernard Heger, du Simavelec (*), chargé de représenter les industriels.



Des revenus en hausse de 20%



Ce groupement demandait un tiers des chiffres votés. Autant dire
que la douche fut froide puisqu’avec ce vote, les ayants droit
augmentent mécaniquement leur revenu de près de 20 %
selon les estimations !
Peu étonnant que l’ambiance fût particulièrement tendue, hier.



Un second vote finalisera ces chiffres dans quelques semaines, en les
incorporant dans le texte final publié au bulletin officiel. Le
nouveau régime entrera alors en application. Les prochains
supports concernés seront à l’avenir les
précieux HD-DVD et Blu-Ray vierges, et les très
populaires téléphones aux fonctions MP3.


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1 Go d'hier et d'aujourdh'ui

Un disque-dur d'1Go d'il y a 20 ans et une carte mémoire actuelle de la meme capacitée!

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mardi 13 novembre 2007

Jour et nuit en même temps


Tout est là!

dimanche 11 novembre 2007

Transférer des gros fichiers avec FREE et Filezilla

Le service mis en place par FREE sur cette page (www.dl.free.fr) permet de transférer et de récupérer de gros fichiers déposés sur leur serveur, simplement à l'aide de votre navigateur.
Cependant, l'utilisation d'un logiciel dédié au transfert FTP peux etre une solution plus pro.

Je conseillerais pour cela le très simple et éfficace Filezilla

Configuration de Filezilla pour "dl.free.fr":
- Un serveur ftp:dl.free.fr
- port: 21.

- Le login (ou nom d'utilisateur): l'adresse mail de la personne qui va recevoir le mail contenant le lien pour pouvoir télécharger les fichiers

- Le mot de passe utilisé sera conservé le temps de la "session" d'envoie, de 48h maximum.


- En fin d'upload, vous êtes notifiés du lien http pour le téléchargement.

- Tout comme l'upload web, les fichiers déposés ne seront pas effacé tant qu'il y aura au moins un téléchargement par periode de 30 jours au minimum (en fonction de l'espace disponible sur les serveurs ).
La taille maximale par fichier déposée par FTP est de 10Go. Vous pouvez envoyer et stocker autant de fichiers que vous le souhaitez.

Le client FTP FileZilla (versions 2.2.3X) disponible gratuitement http://filezilla.sourceforge.net est testé compatible avec le service.

La modifiaction d'image du futur

Cette démonstration concernant une nouvelle technologie de retouche d’image va vous étonner. Si vous avez déjà eu affaire à des tâches de changements de dimension ou de cadrage, vous allez immédiatement comprendre en quoi cet outil simplifie la vie considérablement, avec un résultat final qui va vous laisser bouche bée.

Un conseil : allez jusqu’au bout de la vidéo pour voir toutes ses possibilités. Les documents de travail des 2 professeurs israéliens derrière cette trouvaille, Dr. Ariel Shamir et Dr. Shai Avidan, sont disponibles ici.


samedi 10 novembre 2007

L'historique des versions de Windows

J'ai trouvé pertinant de reprendre un article paru sur le site zebulon.fr sur la saga de l'OS leplus répandu au monde.

1. Introduction

On ne peut commencer cette rétrospective sans quelques mots sur l'introduction de MS-DOS qui fut à la base des systèmes d'exploitation de Microsoft jusqu'à Windows 95.

DOS (Disk Operating System) est l'ancêtre de nos systèmes d'exploitations actuels ; il se présente comme un terminal et permet d'accéder aux différents disques de stockage. Si elle est très rudimentaire, DOS reste véritablement la première interface utilisateur sur un ordinateur de type PC.
Au début des années 1980, IBM domine le marché de l'informatique et y perçoit, à juste, titre, un potentiel énorme pour lancer sa machine. De ses premiers échecs, la compagnie a compris qu'elle ne pourrait pas prendre en charge le développement de son ordinateur dans sa totalité. Pour mettre en place son IBM PC, la compagnie fait appel a deux sociétés chargées de développer un système d'exploitation basé sur DOS : Digital Research et Microsoft. A cela s'ajoute un troisième modèle basé sur UNIX.
Microsoft, alors plus connu pour son interpréteur BASIC, se tourne vers Seattle Computer Products et décide de lui racheter QDOS (Quick and Dirty Operating System) pour travailler sur ce projet.
En août 1981, l'IBM PC sort au grand jour. Il est intéressant de constater qu'à cette époque (qui n'est pas si lointaine) le public est alors en mesure de choisir son système d'exploitation - mais comme chacun sait, cela n'allait pas durer.
PC-DOS, la version modifiée de DOS par Microsoft est l'une des versions installées sur l'ordinateur d'IBM et remporte un large succès : près de deux tiers des ventes totales. Une occasion inespérée pour Microsoft d'obtenir le monopole de pré installation sur les machines IBM.

PC-DOS a continué d'évoluer pour finalement être renommé MS-DOS. A l'avenir, Windows s'appuie sur ce dernier pour lui proposer une interface graphique.

1985 - Windows 1.0

Rappelez-vous ces communiqués de presse dans lesquels nous apprenions que la sortie de Windows Vista allait être repoussée de quelques mois, puis de quelques années...
Et bien il semblerait que les estimations de Microsoft ne soient pas au point...et cela commença tout d'abord avec...Windows 1.0.
En 1981, toute l'équipe travaille sur le projet Management Interface (Interface de Gestion). Fort de leurs collaborations passées, Microsoft dévoile son travail à IBM en 1983 mais il faudra alors attendre deux années de plus avant sa commercialisation. Pour certains, Microsoft était alors fini et le projet abandonné. De son côté, IBM rejette ce travail, probablement parce qu'ils avaient, eux-mêmes commencé à plancher sur leur propre système baptisé TopView.

A cette époque, Apple domine le marché du système d'exploitation. Lisa est un succès phénoménal et déjà Apple commercialise son premier Mac. Parce qu'il supporte le multi-tâches et qu'il est le seul doté d'une interface graphique exemplaire, le Macintosh est devenu le modèle à suivre.
Avec TopView, IBM a crée un système multi-tâches, mais c'est un échec commercial, la raison évidente : pas d'interface graphique. Microsoft, désormais seul, doit proposer quelque chose d'original et l'interface d'utilisation reste une priorité pour la continuation du projet Management Interface.

Entre-temps, Rowland Hawson, alors directeur du département marketing chez Microsoft, convainc finalement toute l'équipe de changer le nom du projet ; il propose Windows qui, selon lui, serait beaucoup vendeur auprès du grand public.

L'objectif principal de Windows est clairement défini : proposer une interface pour les applications de MSDOS.

Windows 1.0 est finalement lancé sur le marché le 20 novembre 1985 mais les choses ne furent pas aussi simples : Microsoft doit alors faire face a des violations de copyrights déposés par la firme de Steve Jobs.
Apple estime en effet que la "Corbeille" est une de leur idée originale tout comme la superposition des fenêtres. Par ailleurs les menus déroulants sont plagiés et l'agrandissement des fenêtres rappelle étrangement l'interface du Macintosh. En tout, Apple estime que Microsoft leur a repris 170 idées originelles. Au cours d'un long procès et de plusieurs consensus, c'est finalement Microsoft qui gagne.

Les applications de Windows 1.01
Les applications de Windows 1.01 - Cliquez pour agrandir

Si l'on souhaite être très précis, notons que la toute première version de Windows était réellement Windows 1.01. En effet, nous n'avons nulle trace de la version 1.0 et selon divers témoignages plus ou moins crédibles, celle-ci fut rapidement mise à jour à cause de plusieurs bugs et notamment en ce qui concerne la compatibilité du clavier.
Les versions 1.02 et 1.03 se sont concentrées sur la traduction du système d'exploitation et la prise en charge de différents drivers de périphériques européens, comme le clavier AZERTY.

D'une manière générale, ce premier opus n'est pas très populaire. La concurrence fait mieux et les outils de Windows 1.0 sont inadéquats avec le monde professionnel. Le système embarquait une calculette, un calendrier, un panneau de contrôle, Paint, un terminal, Write (la version ancienne de Wordpad), un gestionnaire de contacts, ClipBoard Viewer et Reversi (un jeu).
Par ailleurs la concurrence afflue de toute part. GEM, une compagnie dirigée par Jack Tramiel, a repris elle aussi l'interface du Mac dans ses moindres détails. GEM surnommé alors "Jackintosh" par la communauté informatique, est aussi traînée en justice par Apple. De son côté, IBM a essuyé un cuisant échec avec TopView et revient sur la scène avec DESQView un nouveau système capable lui aussi de gérer la multi-tâche de manière plus effective sur les applications DOS.

4. 1987-1992 - De Windows 2.0 à Windows 3.1

Microsoft continue de développer son système et en 1987 la compagnie présente Windows 2.0.
Pour cette nouvelle version, Microsoft a concentré ses efforts sur l'utilisation générale et de l'interface graphique. En plus des icônes cliquables, Microsoft y introduit la superposition des fenêtres...au grand damne d'Apple. Il est désormais possible d'utiliser des applications telles que Word ou Excel ainsi que celles développées par les autres compagnies qui virent alors leur marché en pleine croissance.

Windows 2.0 - La superposition des fenêtres
Windows 2.0 : La superposition des fenêtres - Cliquez pour agrandir

Par la suite, en mai 1987, deux variantes de Windows 2.0 sont proposées : Windows/286 et Windows/386. Il s'agit véritablement de la version 2.1. Le système avait pour objectif fonctionner sur les processeurs Intel. Windows allait enfin prendre en charge la RAM pour pouvoir allouer plus de mémoire à ses programmes.

Windows 2.1
Windows 2.1 - Cliquez pour agrandir

En mai 1990, Microsoft publie Windows 3.0. Bien plus qu'une simple mise à jour, Windows 3.0 est capable de gérer plus de 640K de mémoire vive. Par ailleurs, il est doté d'une interface graphique repensée et bien plus puissante. Avec ce nouveau système, Microsoft propose une alternative de qualité au Macintosh. Aussi, de plus en plus de développeurs concentrent leurs travaux sur Windows et le support natif de ces programmes a été grandement amélioré. La prise en charge des graphiques est aussi bien plus poussée que la concurrence, notamment avec les cartes vidéo VGA.

En mars 1992, Microsoft sort Windows 3.1, connu aussi sous son nom de code Janus. Avec plusieurs polices pré installées ainsi qu'une police TrueType, le système propose désormais des outils sérieux pour le traitement de texte. Microsoft y introduit le fameux HotDog Stand, un thème coloré à forts contrastes rouges, jaunes et noirs pour les personnes malvoyantes ou daltoniennes.

Windows 3.0
Windows 3.0 - Cliquez pour agrandir

Avec plus de 10 millions de copies vendues, Windows 3.0 est extrêmement populaire auprès du grand public et reste l'un des plus gros succès commercial de Microsoft.

5. 1993 - La famille NT

En octobre 1992, Microsoft se lance dans un système à vocation plus collaborative. Windows for Workgroups 3.1 (nom de code Kato) est le premier du genre à proposer des options de partage d'impressions ou d'échange de fichiers. Les données d'un ordinateur sont alors accessibles sur une autre machine en réseau. Le système inclut aussi Microsoft Mail, un gestionnaire de courriers électroniques et Schedule+, qui permet de partager son calendrier au sein d'un groupe de travail.

Mais ce n'est que le début d'un long chemin...

En novembre 1988 Microsoft et IBM travaillent sur un nouveau projet alors connu sous le nom de OS/2 3.0. Mais devant le succès fulgurant de Windows 3.x, Microsoft décide de changer l'interface de programmation OS/2 et de la remplacer par celle de Windows. Ce processus ne fut pas sans tension entre les deux compagnies et IBM continua seul le développement de OS/2 tandis que Microsoft concentrait ses efforts sur leur nouveau système, Windows NT.

Windows NT (Nouvelle Technologie) est une famille de système d'exploitation à part qui se caractérise par un nouveau kernel et qui n'est cette fois pas basé sur le traditionnel MS-DOS. Windows NT est multi-tâches, multi-utilisateurs et multi-processeurs. Le système est voué à un usage professionnel, il est d'ailleurs complètement en 32 bits, par opposition a Windows 3.x qui reste en 16/32 bits.

Windows NT
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La première version de Windows NT (3.1) est lancée en juillet 1991 et son but principal est d'augmenter les compatibilités logicielles et matérielles. De nombreux processeurs sont pris en charge et notamment l'Intel IA-32, MIPS, Alpha, PowerPC, SPARC, Intel i860 ou encore l'Intel i960. De la même manière, les éditeurs de logiciels reçoivent l'interface de programmation Win32 et le système est même capable de recevoir des programmes codés en POSIX ou OS/2. Windows NT intègre par ailleurs un gestionnaire de réseaux ainsi que le protocole TCP/IP.

Si Windows NT fut plus populaire que OS/2, il ne fut pas aussi apprécié que Windows 3.x. En effet, bien que le système fut écrit en C et pouvait donc être compilé pour fonctionner sur différents processeurs, le code final était beaucoup trop volumineux et lent à exécuter. Par ailleurs certaines applications comme Microsoft Office se révélaient problématiques en termes de compatibilité...un comble !

6. 1995 - Windows 95

En août 1994, Microsoft se reconcentre sur son système d'exploitation grand public et lance son projet "Chicago".
L'interface utilisateur est complètement retravaillée et nous retrouvons les fameux "Mes Documents" dans un nouvel explorateur de fichiers.
Chicago est conçu pour être compatible avec des programmes en 32 bits basés sur l'interface de programmation Win32 qui fit son apparition avec Windows NT. Cependant, par soucis de compatibilité et par manque de temps, le noyau principal reste en 16 bits. Ce ne fut pas sans conséquences sur la stabilité générale et les performances de Windows 95. Notons qu'il est possible d'allouer 2 gigabits de mémoire virtuelle...si l'on ose se mouiller dans les tréfonds du système qui, par défaut, reste bloqué à la limite de 512MB.

Pour la première fois, Microsoft bloque l'installation de son système sur les machines ne disposant pas de MS-DOS (V7.0 à l'époque) - MS-DOS n'a d'ailleurs plus d'autres fonctions que celui d'un lanceur et seuls les utilisateurs avancés en percevaient encore sa présence. Le mode sans échec, par exemple, avait une interface similaire à DOS et malgré les avertissements de Microsoft, certains l'utilisaient pour installer d'anciens pilotes et augmenter la compatibilité du système.

Windows 95
Windows 95 - Cliquez pour agrandir

Par la même occasion, Microsoft atténue le succès grandissant de OS/2. En effet, IBM a continué le développement de son système, aussi connu sous le nom de Warp, qui déjà se retrouve pré installé sur certaines machines en Allemagne.
Il faut dire que OS/2 n'est strictement compatible qu'avec Win32 et si Microsoft a accès au code source de OS/2, IBM ne peut accéder à celui de Windows 95. Pour cette raison, IBM traîne Microsoft en justice mais l'on ne peut ignorer ce problème de compatibilité qui n'est pas pris en compte par les développeurs d'IBM.

En tout, cinq versions de Windows 95 sont sorties sur le marché :
Windows 95, Windows 95 A, Windows 95 B, Windows 95 B USB et Windows 95 C.
La première version adopte le système de fichiers FAT16, celui des dernières versions de MS-DOS, puis à partir de Windows 95 B il est possible de choisir le système de fichiers FAT16 ou FAT32. Comme son nom l'indique, Windows 95 B USB est le premier à prendre en charge le port USB et se vend dans certains pays d'Europe sous le nom de Windows 97.

Depuis le 31 décembre 2002, Microsoft a cessé d'assurer le support de Windows 95.

7. 1996 - Windows NT 4.0

Entre-temps Microsoft a continué le développement de la famille et NT et en juillet 1996 la compagnie présente Windows NT 4.0.
Dans un environnement en 32bits, le système reprend l'interface graphique de Windows 95 mais se révèle beaucoup plus stable. En effet, les applications ne communiquent plus directement avec les périphériques (comme c'était le cas pour les systèmes basés sur DOS) mais passent d'abord par l'interface de programmation qui aura pour rôle de les virtualiser. D'un côté cela limite énormément les performances du système, notamment pour les applications nécessitant de larges ressources graphiques, tels que les jeux par exemple.

Windows NT 4.0
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D'un autre côté, l'interface utilisateur est nettement plus rapide que celle des versions précédentes de NT grâce à l'intégration d'une partie de Win32 dans le kernel. Dans les versions antérieures basées en 16 bits, chacune des applications partageait la même adresse. C'est Dave Cutler, alors en charge du développement de Windows NT, qui décida d'allouer à chaque processus sa propre adresse, d'isoler le kernel du reste du système et enfin de créer un processus de win32 dédié à la gestion des interfaces utilisateurs et graphiques. Cela nécessitait par contre d'installer directement dans le kernel les pilotes de la carte graphique...ce qui pouvait poser quelques risques de stabilité.

En tout cinq éditions de Windows NT 4.0 ont vu le jour :
Windows NT 4.0, Windows NT 4.0 Workstation (que nous retrouvons installée sur les machines ou distributeurs publics), Windows NT 4.0 Server (orienté vers les PME), Windows NT 4.0 Server, Enterprise Edition (sorti en 1998, il s'agit véritablement du précurseur à la famille de Windows Server) et enfin Windows NT 4.0 Terminal Server.

Pour beaucoup, la sortie de Windows NT 4.0 est un pas en arrière. En effet, ce système apporte certaines contraintes par rapport aux versions antérieures.

En comparaison à Windows 95, Windows NT offre une meilleure compatibilité avec les CPU Pentium-Pro et tout comme OS/2, c'est un système entièrement écrit en 32 bits. Cependant, la technologie Plug-and-Play n'est pas très bien prise en charge. Certaines personnes en sont arrivées au point d'installer Windows 95 afin d'analyser la configuration système pour ensuite la recopier sur une installation fraîche de NT 4.0. Plus problématique, la refonte du kernel de NT 4.0 a entraîné une modification non négligeable des pilotes, et ceux de Windows 95 ou Windows NT 3.x sont devenus incompatibles du jour au lendemain. Pour couronner le tout, on ne pouvait plus installer de drivers au travers du DOS comme cela était possible avec Windows 95.

8. 1998 - Windows 98

Windows 98 (nom de code : Memphis), sorti en juin 1998, est un opus généralement regardé comme une "grosse mise à jour" de Windows 95.
Il aura tout de même fallu attendre deux ans pour cette nouvelle version et Microsoft y introduit plusieurs innovations ; plus d'un millier, selon la compagnie.
Windows 98 est le premier système de Microsoft orienté vers un usage pour l'Internet. Chaque utilisateur peut désormais envoyer ses emails, lire les actualités des newsgroups ou participer à des conférences vidéo. Windows 98 embarque Front Page Express ainsi qu'un assistant de publication sur Internet. Pour la première fois, Microsoft introduit Windows Updates, qui permet à tous les utilisateurs de garder leur système mis à jour à partir d'une connexion Internet. Enfin, Windows 98 est le début d'une longue promotion pour le portail Internet, MSN.
Mais ce qui a fait couler beaucoup d'encre, c'est l'intégration d'Internet Explorer (V4.7) au système et même dans l'interface de l'explorateur de fichiers. C'est le début d'un long procès au sein duquel Microsoft doit faire face aux accusations de vingt états américains qui jugent l'intégration d'Internet Explorer au système comme un acte de concurrence déloyale, notamment envers Netscape.

Windows 98
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Le point fort du système reste dans la gestion des périphériques, nettement améliorée par rapport à Windows 95, ainsi qu'une meilleure prise en charge du système de fichiers FAT 32. Les ports USB sont finalement exploités au maximum et l'on peut y brancher des appareils photos numériques, des caméscopes voire même des joysticks à retour de force. Avec ce nouveau système, Windows peut désormais gérer plusieurs écrans, recevoir des cartes TV et lire des DVDs.
Notons qu'il est maintenant possible de créer des partitions supérieures à 2GB.
D'une manière générale, le système est plus stable et plus rapide que son prédécesseur; Microsoft y a introduit aussi des outils d'entretien automatisés, ce qui permet au système de s'auto nettoyer tout seul. Parmi ces outils nous retrouvons le gestionnaire de tâches, le déframengmenteur, le nettoyeur ou encore l'utilitaire de sauvegarde.

Et les autres ?En 1999, Apple sort Mac OS 9. Selon la firme de Steve Jobs il s'agit du meilleur système pour un usage sur Internet, notamment avec le moteur de recherche Sherlock ou encore les iTools qui deviendront plus tard .Mac.
En 1998, l'une des toutes premières pour le grand public voit le jour: Mandrake. Basé sur Red Hat, Mandrake apporte une plus grande souplesse pour la prise en charge du matériel.

Mac OS 9
Mac OS 9
La distribution Mandrake
La distribution Mandrake

9. 2000 - Windows 2000

Windows 2000, sorti en février 2000, aurait dû s'appeler Windows NT 5.0. En ce sens, le système est principalement destiné au PMEs.

En comparaison à Windows 98, ce système se révèle largement plus rapide et cela grâce à un kernel en 32 bits. Cependant, ces performances ne sont pas aussi spectaculaires pour les utilisateurs de NT 4.0; l'avantage de 2000 se trouve véritablement dans toutes ses nouveautés.
Afin de s'aligner sur ses produits grand public, Microsoft renforce la compatibilité du matériel sur ses machines professionnelles notamment avec le Plug-and-Play ainsi qu'un port Firewire. Fini les casse-têtes et une fois l'appareil connecté, Windows 2000 demandera de lui-même un pilote si nécessaire.
Par ailleurs, Windows 2000 apporte un nouveau gestionnaire de réseau par rapport à la génération NT. Désormais, chaque connection, LAN, VPN ou modem peut être modifiée, permutée ou discontinue sans avoir à redémarrer l'ordinateur: un point essentiel pour les serveurs d'entreprise.
Si la majorité des programmes fonctionnant sous Windows 98 ou Windows NT sont compatibles avec Windows 2000, certains utilitaires doivent être mis à jour; c'est le cas pour les anti-virus ou les outils de défragmentation.

Windows 2000
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Windows 2000 nécessite néanmoins une configuration matérielle quelque peu poussée à l'époque. Selon Microsoft, qui l'on sait, tend à minimiser les configuration minimales requises, Windows 2000 Professional nécessite un processeur tournant à 133 MHz, 64GB de mémoire vive et un disque dur d'au moins 2GB dont 1GB de libre. Windows 2000 Server requiert 128 MB de RAM et un disque dur un peu plus volumineux. Cela est en partie dû au mode hibernation qui fait son apparition auprès des boutons d'extinction et de redémarrage; encore une option très utile dans un cadre d'utilisation professionnelle.

10. 2000 - Windows ME

Sept mois après la sortie de Windows 2000, Microsoft présente Windows Millenium qui est alors perçu comme la version basique de Windows 2000.
En plus des nouveautés déjà introduites par 2000, Millenium est le premier système de Microsoft à proposer l'utilitaire de restoration de fichiers qui remplace l'outil de sauvegarde. Aussi, la communication avec le site de mises à jour, Windows Update, est améliorée et il est désormais possible de le mettre en mode automatique, un pas non négligeable pour la sécurité de millions d'utilisateurs. Toujours au service des utilisateurs, Microsoft y inclut le Centre de Support: une vaste FAQ en cas de problème d'utilisation.

Windows ME
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Parce qu'il est plutôt destiné au grand public qu'à l'usage professionnel, Windows ME se concentre sur le multimédia, un secteur en plein essor. Microsoft dévoile WIA (acronyme pour Windows Image Acquisition) un ensemble de technologies visant à faciliter l'importation d'images. Aussi Windows ME détecte automatiquement les périphériques d'acquisition tels que les scanners ou appareils photo numériques. Chaque image est sauvegardée par défaut dans un nouveau répertoire: "Mes Images", lequel peut être visualisé avec des miniatures. Ce dossier peut aussi être utilisé pour l'écran de veille.
Le système embarque Windows Media Player 7. Le lecteur audio a été transformé en passerelle multimédia orientée vers un usage haut débit pour accéder, entre autre, à des radios en streaming. Enfin, avec Windows Movie Maker, tout le monde peut à présent éditer ses films numériques et digitaliser ses cassettes vidéo.

11. Windows XP

Avec Windows XP (nom de code Whistler) en octobre 2001, Microsoft n'a qu'une idée en tête : démocratiser l'informatique et rendre chaque opération plus facile à exécuter. Doté d'une toute nouvelle interface, XP (pour eXPérience) rassemble les fonctions de Millenium et de 2000.
Plusieurs nouveautés voient le jour, telles que l'usage de Clear Type qui apporte un meilleur confort de lecture des caractères typographiques, l'accès au Bureau à distance afin d'accéder aux disques durs et périphériques d'une autre machine ou une meilleure prise en charge des connections Internet modem et haut débit. Au travers de la démocratisation des nouvelles technologies, de plus en plus de familles investissent dans un ordinateur multi-utilisateurs. Microsoft accompagne ce phénomène, et le nouveau système embarque une meilleure gestion des comptes utilisateurs.

On ne manquera pas de noter une toute nouvelle interface revue en profondeur afin de permettre à chacun de la personnaliser. Plus qu'un nouveau design, XP met en avant un mode de prise en main innovant. Les panneaux latéraux de l'explorateur de fichiers autrefois inutiles sont désormais le point de départ d'actions à réaliser sur le dossier visionné. De cette manière, en regardant le dossier " Mes images ", un clic suffit pour générer un diaporama ou imprimer son contenu.

Windows XP
Windows XP - Cliquez pour agrandir

Windows XP fut l'objet de nombreuses critiques et notamment en ce qui concerne l'activation du produit. Afin d'enrailler les copies frauduleuses et le développement des marchés illégaux, Microsoft oblige les clients à activer le système au moyen d'un connexion Internet ou par téléphone. Le système est étroitement lié au BIOS de la machine et il n'est donc pas possible de l'installer sur un autre ordinateur. Par ailleurs, l'intégration de Windows Media Player et des services Internet (Microsoft Passport lié au compte utilisateur ) au sein du système sont vivement critiqués ; la compagnie est de nouveau mise en accusation pour abus de monopole.

Windows XP est décliné en 7 versions:
Windows XP Home Edition, destiné à l'usage familial, est le plus vendu et pré-installé sur la majorité des machines.
Windows XP Professionnel cible les entreprises ou utilisateurs expérimentés.
A l'origine, Microsoft aurait du sortir deux interfaces différentes : celle que l'on connaît pour la version Home Edition (Luna) et une autre pour Windows XP Professionnel. L'engouement des testeurs pour la première interface obligea Microsoft à abandonner la seconde.

Par la suite, Microsoft modifie XP afin de le rendre compatible avec certaines machines aux usages bien spécifiques. C'est tout d'abord le cas de Windows XP x64 Edition, basé sur Windows Server 2003, pour les machines en 64 bits. Ensuite, en poussant toujours plus loin le multimédias au sein des familles, Microsoft lance Windows XP Media Center (nom de code eHome), un centre multimédia qui prend toute sa place dans le salon. XP Media Center (MCE) n'est pas un simple logiciel; le système est vendu avec un PC silencieux doté d'un lecteur DVD, d'une carte TV pour pouvoir programmer des enregistrements vidéo et obtenir un calendrier des émissions. Une interface spéciale pilotée à l'aide d'une télécommande infrarouge permet de visualiser des diaporamas, de lire sa musique et ses films. L'interface graphique de XP Media Center est légèrement modifiée avec un nouveau thème, Royale.
L'ère de la mobilité a commencé et cette fois Windows XP est installé sur les Tablet PCs : le système est modifié pour ces ordinateurs / tablette portables doté d'un écran tactile. Microsoft y introduit la prise en charge de notes manuelles.

Enfin, n'oublions pas deux légères variantes:
  • Windows XP Starter : une version allégée destinée aux pays en voie de développement d'Asie (Thaïlande, Malaisie, Indonésie)
  • Windows XP N : avertit plusieurs fois par la Commission Européenne, Microsoft est finalement jugé et sanctionné pour son monopole en ayant inclus Windows Media Player au système. En plus d'une amende de 600 millions de dollars, la compagnie est forcée de sortir une version qui n'inclut pas le lecteur audio.

Et les autres ?Entre 2001 et 2005 Apple a sorti quatre nouveaux systèmes (Cheetah, Puma, Jaguar, Panther et Tiger) basés sur une nouvelle interface Aqua. Le dernier, Mac OS X 10.4, est un système d'exploitation innovant qui inclut notamment Spotlight, un moteur de recherche instantané ainsi que Dashboard, un système de widgets permettant aux utilisateur d'accéder à de mini applications en un seul clic de souris.
De son côté Linux, s'oriente vers une distribution pour le grand public afin de rattraper son retard sur Microsoft. Avec le projet Ubuntu, qui commença en octobre 2004, plusieurs milliers de gens se familiarisent à une interface conviviale et facile à prendre en main.

Mac OS 10
Mac OS 10
La distribution Ubuntu
La distribution Ubuntu

12. 2006 - Windows Vista

Pour son prochain système d'exploitation, Microsoft table sur 2003. Windows Vista, au nom de code Longhorn, aurait dû apporter une phase de transition entre XP et Blackcomb (connu aujourd'hui sous le nom de Windows 7)
Cependant, au fil du développement l'équipe de Vista y intègre plusieurs fonctionnalités originellement prévues pour Blackcomb.

Windows Vista
Windows Vista - cliquez pour agrandir

C'est un travail de fond qui a été opéré sur Vista, et ce, afin d'y intégrer les dernières technologies. Ainsi, Microsoft a restructuré l'architecture de plusieurs composants primordiaux tels que la prise en charge de l'impression, de l'affichage, du son et du réseau.
Vista est le premier système compatible avec ReadyBoost et Ready Drive, deux technologies permettant d'utiliser de la mémoire flash (clé USB) ou un disque dur externe pour s'en servir comme mémoire cache afin d'accélérer l'exécution des programmes les plus utilisés. Au niveau graphique, on ne manquera pas de noter de sympathiques effets 3D. Vista embarque un nouveau modèle de pilotes d'affichage ainsi qu'un tout nouveau Direct3D. Enfin Microsoft revoit sa connexion TCP et inclut une nouvelle architecture réseau IPv6.
Outre son interface, baptisée Aero, qui apporte un nouveau souffle à Luna, Windows Vista embarque plusieurs autres nouveautés et une prise en main encore plus facilitée.
Si Microsoft a travaillé sur un nouveau shell pour Windows XP, Vista n'est pas en reste. Dans l'explorateur de fichiers, le panneau latéral d'actions à effectuer sur le dossier visualisé a été transformé en barre de tâche. La navigation au sein du système ne s'affiche plus dans une barre d'adresse mais au travers d'un menu fléché. Un nouveau panneau d'affichage présente une miniature du fichier sélectionné. Par ailleurs, un autre panneau affiche les caractéristiques du document pour lequel il est possible d'attribuer des mots-clés.
D'abord intégrée sous le nom de Dashboard au cours du développement de Longhorn, la Sidebar fut ôtée dans l'une des dernières versions bêta pour finalement faire son retour dans la version finale. La Sidebar permet à l'utilisateur de réunir des gadgets, des minis applications aux fonctions très diverses (lecteur de fils RSS, messenger, prévisions météo...)
Quelques nouveaux logiciels font leur apparition, c'est le cas de Windows Mail, qui remplace Outlook Express, Windows Calendar, Windows DVD Maker, Windows Photo Gallery, Windows Meeting Space ou le Contrôle Parental. Enfin Vista intègre les dernières versions d'Internet Explorer (V7) et du Media Player (V11).

Malgré toutes ces nouveautés, Vista est l'objet de très nombreuses critiques et particulièrement en ce qui concerne sa compatibilité matérielle. Pour un confort d'utilisation et l'exploitation de toutes ces technologies, le système nécessite au minimum 2GB de mémoire vive : c'est quatre fois que le minimum requis pour XP, à croire que ReadyBoost n'est rien d'autre qu'un palliatif à ce problème. Le comble reste sans doute la lenteur d'exécution des tâches basiques tels que les "copiers/collers", Microsoft a d'ailleurs adressé ce problème au moyen d'un patch via Windows Updates. Plus grave encore, un grand nombre de périphériques autrefois reconnus et opérationnels sous XP n'ont pas reçu de mises à jour pour fonctionner correctement sous Vista ; plus qu'une mise à jour du système d'exploitation, c'est, pour beaucoup, la machine elle-même qu'il faudra changer.

Et les autres ?Le 26 octobre 2007, Apple lance Mac OS X 10.5, Leopard, qui embarque un système de sauvegarde avancé, un nouvel explorateur de fichiers, un environnement multi bureaux ainsi qu'une légère retouche de l'interface utilisateur.
Le monde du logiciel libre est en plein essor. Les dernières distributions incluent Compiz/Beryl, un environnement graphique en 3D qui ne nécessite que très peu de ressources ; c'est d'ailleurs ce qui en fait toute sa popularité.
Mac OS X 10.5, Leopard
Mac OS X 10.5, Leopard
Compiz en action
Compiz en action

13. 20?? - Et demain...?

Nous l'avons vu un peu plus haut, dans la logique des choses, le nouveau système que nous attendons après Vista est Blackcomb. Cependant, le nom de code a changé pour "Vienna" et finalement, c'est "Windows 7" qui sera retenu. Après Windows NT4, le numéro du système interne n'était jamais mentionné dans le nom public. Windows 2000 est en fait NT 5, Windows XP est NT 5.1 et Windows Vista est NT 6. Si l'on se base sur ces chiffres, il est clair que Windows 7 (NT 7.0) sera une mise à jour majeure.
Microsoft annonce 7 pour 2010, mais il est bien entendu que cette date est loin d'être définitive. La compagnie n'a pas révélé beaucoup d'informations sur ce que nous devons attendre. Nous savons qu'un nouvel explorateur de fichiers sera présent et supervisé par l'équipe d'Office 2007. Par ailleurs Microsoft entend uniformiser et faciliter les recherches locales, sur réseau et sur Internet. Aussi, il a été annoncé que la version finale de Windows 7 ne sera pas exclusivement pour les systèmes 64 bits mais toujours en 32/64.
Enfin il est intéressant d'observer les nouvelles technologies qui nous entourent et notamment celle développées par Microsoft. Les interfaces " multi-touch ", par exemple, arrivent sur les téléphones portables et baladeur numériques. Déjà on se demande si la souris ne va pas être très vite remplacé par nos deux doigts. Microsoft s'est intéressé de très près à cette technologie non seulement avec sa Surface mais bien avant cela avec le Tablet PC. Alors le Windows de demain sera-t-il révolutionnaire ?

Mais bon d'ici là nous recevrons le premier Service Pack de mises à jour pour Vista (Vista SP1, nom de code Fiji) dès le début de l'année prochaine avec aussi Windows Server 2008.





samedi 3 novembre 2007

Faite votre télé avec FREE

Cette fois, lorsque vous allumerez votre téléviseur, vous aurez le choix entre les programmes habituels des grands groupes de communication, et ceux totalement imprévisibles des télés perso. Même média, même télécommande, mais pas du tout le même résultat au bout du zapping.

Folklorique, bigarrée, surprenante, ennuyeuse, intrusive, curieuse, rafraîchissante, volontaire, décousue, militante, drôle, provocante, intimiste… la TV Perso imaginée par Free sera sans doute tout ça à la fois.

Le concept de TV Perso, c’est d’offrir un nouvel espace de création et de liberté. Nous allons permettre aux internautes d’être acteurs, non plus uniquement sur le Web, mais aussi à travers la télévision.” Maxime Lombardini, récemment débauché de TF1 par Iliad, n’aura pas quitté longtemps le monde de l’audiovisuel ! Sauf que là, on oublie les règles. Free ouvre à ses abonnés un canal de diffusion sur son bouquet de télévisions par ADSL. C’est tout. Pas de grille préétablie, pas de thème imposé, pas de durée ni d’horaires prévus. Et pas de contrôle des vidéos non plus. Free est bien décidé à ne pas jouer les censeurs. Et a déjà prévu le cas des contenus “adultes”, déconseillés aux mineurs. Les séquences ainsi estampillées pourront être verrouillées d’un mot de passe. Au pire, les internautes auront le loisir d’alerter sur un dérapage. L’opérateur, lui, n’interviendra qu’a posteriori, si nécessité s’en fait vraiment sentir.

Chacun est acteur, producteur…

L’idée c’est de permettre à un maximum de monde de devenir acteur, producteur, éditeur de sa propre émission et de monter sa propre chaîne de télévision, une chaîne à son image. Un bonus gratuit, ça va sans dire, Free restant ainsi fidèle à sa politique tarifaire qui ne bouge pas depuis le décollage de l’ADSL. De quoi donner le vertige… surtout aux heureux possesseurs de la Freebox HD (dernière génération).

 Car il reste la contrainte technique : pour diffuser ses films, il est nécessaire de passer par un boîtier intégrant un encodeur qui convertira les vidéos au format télé. Or, aujourd’hui, à notre connaissance, seule la Freebox HD assure cette fonctionnalité. Ils seraient entre 800 000 et 1 million de foyers français à posséder cette box. Ne tient désormais qu’à eux de s’en servir différemment.

S’ils le souhaitent, ils branchent un appareil source, un lecteur de DVD ou un caméscope, par exemple, à leur Freebox. Leurs vidéos sont envoyées sur le réseau. Elles sont stockées sur un serveur hébergé chez Free (pour l’instant, l’opérateur n’a pas communiqué de limite sur l’espace de stockage personnel). Et elles sont retransmises sur le canal 13, sous le pseudo de leur auteur.

Mieux, les Freenautes peuvent diffuser des émissions en direct ! Du jamais vu dans l’histoire des télés perso. Du live pour filmer un instantané, ou toute la journée, toute la nuit, pour se montrer à tous ou juste à quelques proches.


Un public potentiel de plus de 4 millions de personnes

Dans l’absolu, il y aurait près d’1,9 million de foyers à pouvoir jouer les voyeurs. Ce sont tous ceux éligibles au service de télévision par ADSL de Free, appelé Freebox TV. Ce qui représente un public potentiel dépassant les 4 millions de personnes. C’est bien moins que la Star Ac’ (!), mais ça n’a pas grand-chose à voir.

Ici, on quitte la télé qui copie la réalité, pour découvrir la télé vraie, la nôtre, la vôtre, celle qu’on fait nous-mêmes. Un drôle de chambardement pour le paysage audiovisuel. Auquel on ajoutera certainement dans les mois à venir de nouvelles briques.

On pense à de nouveaux modèles économiques, avec la possibilité de proposer du contenu payant. On pense à l’interaction entre le diffuseur et son téléspectateur, avec l’intégration du “chat” et, mieux, de la téléphonie IP.

Vingt-six ans après les radios libres, Free vous tend la caméra. Un nouveau coup pendable du plus surprenant trublion de l’Internet. Nous sommes le 28 juin 2007, silence, filmez-vous !

préparez vous au papier électronique

Après quelques essais, ça commence à etre vraiment au point.
Pas de rétro éclairage, pas de scintillement....
A voir la vidéo de l'E-paper

Ce blog vous en diras plus

Le porte-cléfs photo

On connaissait déjà les cadres photo numériques, qui permettent d'afficher dans son salon une collection de photos, sur un écran LCD.

Voici maintenant les porte-clefs photo numériques...



Ce modèle, premier du genre (Pocket Album de Digital Foci), est équipé d'un écran LCD de 1,5 pouces, et peut afficher 74 photos grâce à sa mémoire intégrée de 8 MB.
Il est équipé d'une fonction diaporama, avec intervalle entre deux photos ajustable.
Il est vendu pour 39.95$ (prix USA) soit environ 28€.

mardi 30 octobre 2007

Le pinceau électronique

Un truc qui mélange créativité et technologie...c'est pas si souvent!

dimanche 28 octobre 2007

Le zombie dort mais...

Dans le monde ultra technologique dans lequel nous vivons j’adore ces moments où la réalité parvient à rivaliser avec la fiction.
Il y a quelques temps je me demandais pourquoi il y avait si peu de films qui parlait de terrorisme informatique et de hacking en régle général et pourquoi ceux qui en parlaient était si médiocres. Le boom de l’internet a plus de 10 ans dans les pattes il est temps que les scénaristes se penchent sur la question. Jusqu’à présent le domaine de la sécurité informatique au cinéma est peuplé d’adolescents boutonneux qui tape furieusement pour afficher du code absurde dans une interface customisée d’autoCAD.
Cela dit, il est vrai que rendre l’intrusion informatique visuellement attrayante n’est pas chose aisée. En gros du code en blanc sur fond noir c’est pas trés cinégénique.
Enfin bref, j’en viens à cette news trouvée aujourd’hui sur le blog de Bruce Schneier, consultant en sécurité informatique et contributeur de wired news.
Schneier parle de Storm, un zombie network qui se dévellope depuis un an en Europe et aux Etats-Unis.
Je vais essayer de vulgariser un peu son article à l’image de ce que devrait faire un scénariste hollywoodien qui parle d’informatique.
Un zombie network ou botnet, c’est une série d’ordinateur connecté en réseau via l’internet mais dont les utlisateurs sont ignorants du dit réseau. Imaginez en gros que les virus qui infectent les ordis se parlent entre eux et peuvent agir de concert pour effectuer diverses tâches. Le principe est le même que SETI@home sauf que dans le cas d’un zombie network les actions du réseaux se font dans l’ombre de l’utilisateur de la machine.
Les types à la tête d’un zombie network peuvent dés lors utilisés la puissance combinés de tous les ordinateurs du réseau ce qui équivaut à beaucoup pour être précis. Habituellement ces individus mal-intentionnés se servent de cette puissance de calcul pour faire lancer des attaques massives contre des sites internet.
Une des pratiques de plus en plus répandues est basiquement de braquer des sites. Le possesseur du botnet contact un webmaster, lui demander de payer une somme d’argent conséquente ou il lance des attaques repétées résultant en de large pertes de revenus.
Ca c’était pour la petite explication, maintenant qu’est-ce que le botnet Storm a de spécial.
Tout dabord il est gigantesque, on estime qu’entre 1 et 50 millions (ouais il y a une grosse marge d’erreurs) de machines qui en font partie.
Deuxiémement il est trés difficile à repérer. La plupart des zombie network sont contrôllés par un seul ordinateur qui se trouve en haut de la chaine, il est relativement facile de comprendre qui parle à qui sur le réseau. Si toutes les machines du réseau communiquent constemment avec un unique serveur il y a de grande chances que ce serveur soit le boss de fin de niveau.
Storm opérent diffférement les machines parlent à une trentaine d’autres machines et aucunes d’entre elles ne possédent la liste compléte des ordinateurs qui ménent la danse. En gros c’est une grosse toile sans centre.
Troisiémement le virus qui répand l’épidémie change constament ce qui fait qu’il est trés difficile pour les fabricant d’anti-virus de garder le rythme avec les dernière versions de la bête.
Enfin, Storm est particuliérement calme, le botnet n’attaque que trés rarement et uniquement les sites qui parlent de lui (oops). Aucuns cas de braquage virtuel n’a encore été enregistré de la part de Storm. Le monstre dort.
Vous voyez les films de James Bond où le méchant a un laser qui peut griller la planéte ? Storm a aujourd’hui la capacité de réduire n’importe quel machine connectée au net à l’état de pulpe de silicone.
Et ce en utilisant nos ordis, pas des super-calculateurs top-secret de la NASA, juste des pc de base comme celui sur lequel vous regardez cet article.
J’attends avec impatience la video sur youtube d’un petit homme chauve et ridé, carressant son persan blanc langoureusement.
“Citoyen de la terre bonjour,Herr Doktor Storm exige 5 trillions de dollars d’ici demain 16 heure sinon j’annéantirais Google, et une heure plus tard Yahoo et une heure plus tard LiLELA…”.
C’est beau de rêver.

Ecrit par Corbor sur lilela.net

samedi 27 octobre 2007

Le monde existe t'il réellement?

Pour faire court, le fait d'observer une particule modifie son comportement, une petite vidéo pour comprendre.


Un article de futura sciences simple d'approche (autant qu'on peut l'etre) pour comprendre comment les particules à l'échelle quantique se comporte avec notre notion du temps

vendredi 26 octobre 2007

Qu'attendez vous pour ouvrir un compte Gmail!!

Pour l'instant en tout cas, tout les outills créé par Google déchire !
J'ai posté dèjà un article la dessus.
J'ai trouvé bon de parler de leur boite mail, en résumé:
  • une capacité de stockage supérieure à 2,5 Go
  • un accès Webmail multilangue
  • un accès POP / SMTP sécurisé (SSL et TLS)
  • une fonction de redirection des mails reçus vers la boîte mail de votre choix
  • une fonction d' importation / d' exportation de votre carnet d'adresses
  • une fonction antispam (anti pourriels) en perpetuelle amélioration
  • une fonction de suivi pour garder un oeil sur une conversation précise
  • une fonction de sauvegarde en ligne à la volée du mail en cours de rédaction
  • un correcteur orthographique français
  • des règles de filtrage avancées
  • des libellés pour une meilleure organisation de vos mails
  • un moteur de recherche avancé, rapide et efficace pour retrouver ses mails
  • etc.
Mais vous aurez tous les détails en images sur le site de Generation-NT

Essayer c'est l'adopter!

samedi 20 octobre 2007

Un stylo électronique SANS papier spécial

Enfin le moyen de prendre des notes manuscrites sur un papier ordinaire et de les transférer dans un PC, simplement avec une clé USB....le futur est dèjà la

Des interrupteurs sans fil...

Voici une technologie totalement innovante qui rend les interrupteurs en particulier et tous les appareillages en général totalement propres.

Les interrupteurs équipés EnOcean ne consomment tout simplement pas de courant. Ils communiquent sans fil avec une centrale dans la maison qui elle va piloter les différentes lampes. Ca marche aussi pour le chauffage, la climatisation, la sécurité, etc. Il existe ensuite des passerelles web ou EIB/KNX pour que la centrale EnOcean communique avec le tableau électrique.

enocean3 enocean2 enocean

Alors, comment ça fonctionne EnOcean ? Un interrupteur EnOcean est en effet suffisament peu gourmand en courant pour que l’action humaine d’appui sur l’interrupteur génère le peu de courant nécessaire pour envoyer l’information allumer ou éteindre à la centrale. Génial, il suffisait d’y penser ! Aucune consommation de courant, aucune liaison à l’installation électrique, cela signifie que les produits sont faits pour durer dans le temps.

Ils simplifient également l’installation : l’électricien n’a plus besoin de tirer des câbles dans les murs pour les interrupteurs ; les lampes et autres appareils peuvent être reliés directement au tableau électrique. (via multiroom.fr) Adresse du site

mercredi 17 octobre 2007

Comparatif des débit ADSL par pays


On est pas si mal en France non?