mercredi 30 avril 2008

1er couac du SP3 de XP

Coup de théâtre. Alors que sa sortie était prévue, annoncée pour ce 29 avril, le pack SP3 pose des problème de compatibilité...

Ce 29 avril tourne au... poisson d'avril! Le géant de Redmond vient de faire savoir qu'en raison "de problèmes d'incompatibilité", la mise à disposition du "service-pack 3' de mise à niveau de Windows XP était retardée.

La mise à jour était censée être activable, téléchargeable officiellement via Windows Update, ce mardi 29 avril.

Les problèmes d'incompatibilité rencontrés concerneraient des applications "point de vente" auprès des petits et moyens revendeurs... Les points d'incompatibilité ont été repérés ces derniers jours entre l'application Dynamics Retail Management System (RMS) et à la fois Windows XP SP3 et Windows Vista Service Pack 1.

Du coup, en toute dernière heure, Microsoft a pris la décision, sage et louable, de repousser la date de mise à disposition.

Selon IDG News, le géant du logiciel a précisé qu'il était en train de mettre en place des filtres afin d'empêcher l'activation de Windows Update qui devait apporter à la fois les service-packs de Windows XP et de Vista aux systèmes supportant Dynamics RMS.

Une fois que ces fonctions de filtrage seront opérationnelles, Microsoft planifie de livrer XP SP3 sur Windows Update et sur son site Web 'Download Center' pour un déploiement auprès des utilisateurs qui ne disposent pas de Dynamics RMS.

A cette heure, Microsoft n'a pas encore pu préciser combien de temps cela prendra pour activer ces filtres Dynamics RMS.

Source Silicon

mardi 22 avril 2008

Google...tout un mystère

L’infrastructure utilisée par le géant de la recherche Google est un mystère que beaucoup aimeraient percer, que ce soit les concurrents ou les utilisateurs étonnés de la réactivité sans faille des services malgré un nombre d’utilisateurs record.

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Voici quelques réponses et hypothèses concernant les Data centers de Google.

La culture du secret

Google estime que leurs Data Centers leur donnent un avantage important face à la concurrence, c’est pourquoi peu d’informations filtrent sur le nombre de centres, leur taille, leur localisation, leur puissance ou encore la consommation électrique de ceux-ci.

Pour rester discrets, les data centers ne sont d’ailleurs pas créés sous le nom de Google, mais par des sociétés LLCs (Limited Liability Corporations) soit l’équivalent de nos sociétés à responsabilité limité en France.

Où sont les Data Centers ?

Si on compte les sites en construction, les connaissances actuelles font état de 19 sites aux Etats-Unis, de 12 en Europe, 3 en Asie, 1 en Russie et 1 en Amérique du Sud. Tous les data centers ne sont pas la propriété de Google, qui continue à louer de l’espace dans des centres tiers (principalement pour du Peering).

datacenters-google-dans-le-monde
datacenters-google-en-europe

Les plus de 500 adresses IP utilisées par le moteur de recherche Google donnent d’ailleurs peu d’informations quant à la localisation des centres puisque la plupart pointent vers le quartier général de Google à Mountain View en Californie.

Voir la carte des Data Centers ici.

Le gigantisme

D’après les rapports de comptes de Google, la firme aurait dépensée 1.9 milliards de dollars en 2006 pour ses centres et 2.4 milliards de dollars en 2007. Chaque nouveau projet de data center coûterait 600 millions de dollars.
De quoi payer la consommation électrique de chaque centre qui serait de 50 MegaWatts pour les centres majeurs et pourraient atteindre la valeur estimée de 103 MegaWatts.

Dans l’Oregon, le site de Google serait composé de 3 Data Centers de 6380m², un bâtiment administratif de plus de 1800m², d’un dortoir de 1500m² pour les employés de passage et 1600m² pour les tours de refroidissement.

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Le choix des sites

Le choix de l’emplacement des Data Centers est déterminé par plusieurs critères :

  • La disponibilité d’une source d’énergie bon marché à proximité,
  • La présence de sources d’énergie renouvelable : éoliennes, énergie hydro-électrique,
  • La proximité de larges sources d’eau pour les besoins de refroidissement (rivières ou lacs),
  • La présence de larges espaces pour facilité la sécurité et la confidentialité du site,
  • La répartition des Data Centers : afin de maintenir une communication efficace entre les sites, les observateurs pensent que la proximité et la bonne répartition des centres est un élément important pour des temps de réponse faibles,
  • Les réductions d’impôts : beaucoup de régions ou d’Etats fournissent des avantages à Google en échange de son installation.

dimanche 20 avril 2008

Le volume d'eau et d'air de la terre

L’air et l’eau des denrées rare

Cette illustration nous montre le volume total de l’air dans l’atmosphère et de l’eau sur terre, représentés par deux sphères bleue (eau) et rose (air). On peut facilement imaginer que les réserves ne sont pas illimitées.

La sphère d’eau mesure 1390 km de diamètre et a un volume de 1.4 milliards de kilomètres cube. Les Océans, les mers, la calotte glacière, les lacs et rivières, les sources souterraines et dans l’atmosphère, tout y est. Quant à la sphère d’air, elle mesure 1999 km de diamètre et pèse 5140 trillion de tonnes:

Une mémoire organique pour bientot

Matsushita Denki (Panasonic) avec les universités de Tohoku et de Osaka, le Tokyo Institute of Technology et l'Advanced Institute of Science and Technologies de Nara ont mis au point une nouvelle technologie de réalisation de cellules mémoire utilisant une protéine animale, la ferritine, qui a la propriété de s'auto-organiser. L'emploi de cette protéine permet de façonner des structures à l'échelle nanométrique, plus simplement qu'avec les technologies lithographiques traditionnelles. Ceci devrait permettre de développer une puce de la taille d'un timbre et qui aurait une mémoire de 1 Téraoctet.


Différents types de mémoire RAM
Bientôt des mémoires à base de protéines ?

La ferritine est une protéine creuse qui dans le métabolisme des animaux sert à stocker le fer, mais elle peut également renfermer de nombreux autres composés inorganiques dans sa cavité (diamètre de la cavité 7 nm, taille de la protéine 12 nm). Il est très difficile de la synthétiser artificiellement donc actuellement elle est extraite in vivo à partir d'Escherichia coli. Cette ferritine est lavée à l'eau pour réduire au minimum la concentration de cations (<0,150 ppm), nuisibles au bon fonctionnement des mémoires, puis plongée dans une solution de composés métalliques (oxyde de fer, oxyde de cobalt, oxyde de zinc, sulfite d'or...) pour incorporer ces derniers dans sa cavité.

Afin que les protéines puissent se fixer sur le substrat de silicium, on trace au préalable par lithographie un motif d'agencement au titane sur celui-ci. La ferritine, à laquelle on a greffé une chaîne moléculaire qui ne se fixe que sur le titane, va donc s'arranger de manière automatique le long des motifs.

La dernière étape est d'éliminer la ferritine et de conférer les propriétés électriques au système. Une couche d'oxyde de silicium est déposée sur l'ensemble, et par chauffage à 500°C, les protéines sont dissoutes et l'oxyde métallique est réduit. Le système est finalement composé d'îlots métalliques de 7 nm de diamètre, régulièrement espacés le long des motifs, noyés dans une couche de SiO2.

Les tests réalisés ont prouvé qu'un tel dispositif pouvait effectivement servir de mémoire et que mis en application, il permettrait de créer des mémoires 30 fois plus denses que celles actuelles et ceci à un coût plus faible. Panasonic espère une mise sur le marché dans 5 ans.

Cette recherche fait partie du "Promotion of the Research and Development Project Aimed at Economic Revitalization" initié par le MEXT (Ministry of Education, Culture, Sports, Science and Technology) en 2003, thématique "New Elemental Device Development Utilizing Nanotechnology which defies all conventions of miniaturization for silicon semiconductor devices".


Source: BE Japon numéro 477 (28/03/2008) - Ambassade de France au Japon / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/53766.htm

jeudi 17 avril 2008

17 ordinateurs qui ont marqués leurs époque

Les années 80 ont vu décoller le marché de la micro-informatique, avec des modèles mythiques comme le Commodore 64, l’Apple Macintosh ou le Sinclair ZX81. Les écrans couleurs, les interfaces graphiques et les portables ont fait leur arrivée.

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1 - Hewlett-Packard Model 85 (janvier 1980)

En janvier 1980, le constructeur américain Hewlett-Packard commercialise son HP-85, un ordinateur « tout en un », incluant donc un clavier, une unité centrale, un écran (5 pouces), mais aussi une imprimante thermique à rouleau dans un même boîtier. Le design du HP-85 est très proche de l'IBM 5100, qui date de 1975 et est considéré comme l’un des premiers micro-ordinateurs. Vendu 3 250 dollars, le HP-85 intégrait une processeur HP 8 bit cadencé à 0,613 MHz, épaulé par 8 à 64 Ko de RAM. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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2 - Sinclair ZX80 (février 1980)

Le fabricant britannique Sinclair commercialise au début de l’année 1980 son ZX80, pour un peu moins de 1 000 francs. Il était animé par un processeur 8 bits cadencé à 2,5 MHz (Zilog Z80), avec 1 Ko de mémoire. Son clavier à membrane offrait une ergonomie limitée. Sinclair en vendra environ 70 000 avant de lancer une version évoluée en 1981, le ZX81 (voir ci-après). (Crédit photo : oldcomputers.net)

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3 - Apple III (1981)

Après le succès remporté par son Apple II, la firme de Steve Jobs lance en 1981 l'Apple III. Une machine plutôt dédiée à une utilisation professionnelle et vendue près de 3 900 dollars avec son moniteur. L’Apple III intègre un processeur Synertek 6502A grimpant à 2 MHz, et de 128 à 512 Ko de mémoire. Il s’en vendra environ 65 000 en quatre ans. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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4 - Sinclair ZX81 (mars 1981)

Évolution du ZX80 sorti un an plus tôt, le Sinclair ZX81 arrive sur le marché au printemps 1981. Son prix est encore plus bas que son prédécesseur : environ 500 francs. L’ordinateur est livré en kit. Il fonctionne avec un processeur Zilog Z80A cadencé à 3,25 MHz et toujours 1 seul Ko de mémoire vive, mais évolutif jusqu’à 64 Ko. Sinclair a gardé son clavier à membrane qui aura laissé des souvenirs impérissables à plus d’un utilisateur. La programmation se faisait en Basic en tapant les instructions imprimées sur les touches, à côté des lettres. Le fabricant britannique en a écoulé plus de 500 000 exemplaires la première année. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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5 - Osborne 1 (Avril 1981)

Réalisé en 1981 par Osborne Computer Corporation, le Osborne 1 est considéré comme étant le premier ordinateur portable. Il disposait d’un boîtier valise pesant un peu plus de 11 Kg. L’Osborne 1 intégrait un processeur Zilog Z80 à 4 MHz et 64 Ko de RAM. L’écran offrait une diagonale de 5 pouces. Il n’intégrait pas de batterie et devait donc être branché sur secteur. Osborne proposera par la suite une batterie portable complémentaire, offrant 1 heure d’autonomie. Cet ordinateur était vendu 1 795 dollars. Quelque 125 000 exemplaires furent construits dès 1982. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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6 - Sinclair ZX Spectrum (1982)

En 1982, Sinclair propose son ZX Spectrum, qui succède au ZX81 avec, comme principale différence, la sortie vidéo couleur (sept couleurs plus le noir), au lieu du noir et blanc. Il était animé par le processeur Zilog Z80 tournant à 3,5 MHz, et doté de 16 à 48 Ko de mémoire. Cette machine a surtout été vendue en Grande-Bretagne où elle fut le premier ordinateur personnel grand public, avec un prix de 125 livres sterling (1 500 francs à l'époque). Elle fonctionnait avec un lecteur de cassette (les mêmes que les K7 audio) pour stocker les données.

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7 - Thomson TO7 (1982)

En 1982, la société française Thomson lance son TO7, qui rencontrera un vif succès en France du fait de sa distribution dans les écoles. Il s’est notamment distingué par l’utilisation d’un crayon optique pour pointer des éléments affichés à l’écran. Le TO7 était animé par un processeur Motorola 6809 cadencé à 1 MHz avec 8 Ko de RAM. Il était capable d’afficher 320x200 pixels en 8 couleurs.

Cette machine disposait d'une trappe pour insérer des cartouches ROM, notamment celles de jeux. Vendu 7 000 francs à sa sortie, il sera remplacé en 1984 par le TO7-70, qui intègrera notamment 48 Ko de RAM.

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8 - Commodore 64 (septembre 1982)

En septembre 1982, le Commodore 64 arrive sur le marché. Il sera l’un des premiers gros succès commerciaux de l’industrie du micro-ordinateur. Commodore Business Machines Inc. en vendra plus de 17 millions, au prix d’environ 600 dollars. Cette machine était basée sur un processeur MOS 6510 à 1 MHz, épaulé par 64 Ko de mémoire. L’affichage était en 16 couleurs avec une résolution de 320x200 pixels. Le Commodore 64 intégrait une puce sonore 3 voies. De nombreux jeux furent proposés pour cette plateforme. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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9 - Oric 1 (1983)

En 1983, la société britannique Oric commercialise son Oric 1, basé sur un processeur 8 bits 6502 cadencé à 1 MHz, 16 Ko de mémoire et un clavier de 57 touches souples. Il offrait une résolution de 240x200 pixels en 8 couleurs, et intégrait une puce sonore 3 voies. Vendu 2 000 francs, il remporta un relatif succès au Royaume-Uni et en France, où il s'en vendra 50 000 unités en 1983.

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10 - Amstrad CPC 464 (1984)

C’est en 1984 qu’apparaît l’Amstrad CPC 464, qui remportera un franc succès avec plus de 2 millions d'exemplaires vendus, notamment en France. Conçu pour une utilisation familiale, il coûtait environ 3 500 francs. Son boîtier intégrait une unité centrale, un clavier et un lecteur de K7 pour charger les programmes. Il fonctionnait avec un processeur Z80A à 4 MHz, avec 64 Ko de RAM (extensibles à 512 Ko) et 32 Ko de mémoire morte (ROM extensible à 4 Mo). Le CPC 464 était capable d’afficher une palette de 27 couleurs, avec un résolution montant à 640x200 pixels (2 couleurs). Il intégrait la puce sonore General Instruments AY-3-8912, 3 voies stéréo.

Une version plus évoluée, intégrant notamment un lecteur de disquette et baptisée CPC 6128, verra le jour en 1985. De nombreux jeux seront proposés sur cette plate-forme, dont le mythique Barbarian.

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11 - Apple IIc (1984)

En 1984, la firme à la pomme fait évoluer son Apple II, qui devient Apple IIc (c pour compact). Vendu 1 300 dollars, cette machine bénéficie d’une campagne publicitaire qui lui permettra de s’écouler à 52 000 unités le premier jour de sa mise sur le marché aux États-Unis. Au total, Apple en vendra 400 000 en un an. L’Apple IIc était animé par un processeur MOS 65C02 à 1 Mhz, disposait de 128 Ko à 1 Mo de mémoire vive, et de 32 Ko de mémoire morte.

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12 - Commodore SX-64 Executive (1984)

En 1984, Commodore propose son SX-64, qui est le premier ordinateur portable couleur. Son écran de 5 pouces affiche ainsi jusqu’à 16 couleurs, pour une résolution de 320x200. Pesant un peu plus de 10 Kg, il devait être branché sur le secteur et ne disposait pas de batterie intégrée. Le SX-64 intégrait un lecteur de disquettes, ainsi qu'un clavier à ranger dans un boîtier valise dédié. Ce portable intégrait un processeur MOS 6510 à 1MHz et 64 Ko de RAM. Il fut vendu au prix de 995 dollars. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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13 - Apple Macintosh (janvier 1984)

Début 1984, Apple commercialise son Macintosh, qui deviendra une marque mythique. Cette machine est considérée comme le premier ordinateur grand public à proposer une véritable interface graphique (la Macintosh GUI - Graphical User Interface). L’utilisateur n’a désormais plus à taper du code, mais navigue via des icônes en noir et blanc. Une vraie révolution à l’époque. Il fonctionnait avec un processeur Motorola 68000 à 7,83 Mhz et avait entre 128 et 512 Ko de mémoire vive. L’Apple Macintosh était vendu 2 495 dollars. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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14 - Thomson MO5 (1984)

En 1984, Thomson propose son MO5, qui présente une réelle évolution par rapport à son prédécesseur, le TO7. D’ailleurs, ses programmes étaient incompatibles avec ceux du TO7 et du TO7/70. Comme ces derniers, le MO5 doit sa célébrité en France à son implantation massive dans les écoles. Il était doté d'un processeur Motorola 6809E cadencé à 1 MHz, de 48 Ko de RAM et 16 Ko de ROM. Le MO5 pouvait afficher 320x200 pixels en 16 couleurs. Vendu 2 390 Francs, il connut un succès moindre que le TO7.

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15 - Atari 520ST (1985)

L’Atari 520ST est commercialisé au début de l’année 1985, au prix relativement bas de 600 dollars. Il fonctionne avec une souris et une interface graphique, selon le même principe que les PC actuels. Le système d'exploitation était baptisé TOS pour The Operating System. Cette machine était dotée d’un processeur Motorola 68000 à 8 MHz et de 512 Ko de RAM. L’Atari 520ST était capable d’afficher 640 x 400 pixels en monochrome, ou notamment 640 x 200 pixels en 4 couleurs. De nombreux jeux furent proposés sur cette plate-forme. (Crédit photo : oldcomputers.net)

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16 - Amiga 500 (1987)

Sorti en 1987, l’Amiga 500 ou A500 était fabriqué par Commodore. Vendu 4 500 francs, il est venu entrer en concurrence avec l’Atari 520 ST. Il utilisait le processeur Motorola 68000, cadencé à 7,14 MHz (PAL) ou 7,09 MHz (NTSC). Cette machine était livrée avec 512 Ko de mémoire. Les performances graphiques sont très élevées pour l’époque, notamment le mode 640x512 pixels en 16 couleurs parmi 4096. La qualité sonore est également élevée : 4 voix 8 bits. Le système d'exploitation est un dérivé d'Unix.

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17 - Apple Macintosh Portable (1989)

En 1989, Apple lance son premier ordinateur portable : le Macintosh Portable. Vendu plus de 7 000 dollars, cette machine pesait un peu plus de 7 Kg avec une batterie offrant jusqu'à 12 heures d'autonomie. Cet ordinateur intégrait un processeur Motorola 68HC000 à 16Mhz , 1 Mo de RAM (9 Mo maximum) et 40 Mo de disque dur. L’écran noir et blanc offrait une diagonale de 10 pouces et pouvait afficher 640 x 400 pixels. L’Apple Macintosh Portable fonctionnait avec Mac OS 6.04. (Crédit photo : oldcomputers.net)

Source zdnet

lundi 14 avril 2008

Savoir si un contact MSN vous a zappé

Vous n'avez plus de nouvelles de vos contacts Msn ?, vous vous posez la question je suis supprimé ?. A moins de demander directement pas facile de connaitre la réalité. Voici une petite astuce pour en être sur.

1)
- Allez dans Outils > Options > Confidentialité

2)

- Faites un clique droit sur un contact

>> Supprimer est grisé, votre contact ne vous a pas supprimé. Ouf !!

>> Supprimer n'est pas grisé , votre contact vous a supprimé.

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