samedi 26 juillet 2008

La fabrication d'une fibre optique

Elément primordial de nos communication, la fibre optique se fabrique comme ceci:

mardi 15 juillet 2008

Pages perso de FREE sous surveillance

samedi 12 juillet 2008

Coup de balai sur les pages perso

(édité le 12 juillet 2008, merci à Yohan, et le 13, merci à Hubert)

Depuis peu, un script "tourne" sur les pages perso Free pour repérer automatiquement et repérer les comptes qui contreviennent de façon flagrante aux conditions d'usage du service. Le résultat est un site qui répond "Erreur 403".

Pour commencer, pas d'affolement : ni le site ni la base de données ne sont perdus. Si vous suivez la procédure, vous récupérerez tout.

Ce qui n'empêche pas de se demander ce qui a causé la suspension... Interrogé par nos soins, l'administrateur du service des pages perso de Free a bien voulu nous indiquer quelques cas typiques qui vont à coup sûr attirer l'attention du script, et qui sont donc à éviter.

  1. Les sites dont l'accès est totalement restreint (pour les geeks, les "401"). Bien sûr, une restriction partielle est admissible, ne serait-ce que pour la partie "administration" des forums, wikis et autres blogs.
  2. Les sites qui ne font que rediriger vers un autre site (les "301", en geeklangue), qu'il soit aussi chez free.fr ou ailleurs. Si vous tenez à migrer votre site ailleurs, faites une page d'accueil annonçant la migration (et faites-la disparaître dans un délai raisonnable). Si vous avez un site réparti sur plusieurs comptes Free, prévoyez de les fusionner.
  3. Les sites qui redirigent leur page d'accueil sur un sous-dossier en interne mais qui le font seulement en javascript. En théorie c'est admissible ; mais la redirection ne fonctionne pas actuellement avec le script (et ne fonctionnera jamais qu'avec les visiteurs qui ont le javascript activé, ce qui n'est pas le cas général).
  4. Les sites avec des fichiers en vrac sans page d'accueil (geek: Index Of) ou avec une page d'accueil vide ou équivalent. Pour stocker des fichiers, utilisez http://dl.free.fr, c'est fait pour.
Pour ceux qui se rendraient compte qu'ils sont dans une de ces situations, il est encore temps d'y remédier avant de se retrouver blacklisté bêtement.

Mise à jour : certains types de sites, malheureusement, ressemblent assez à un des cas précédents sur la forme pour se faire repérer par le script, bien que sur le fond ils n'avaient aucune intention de contrevenir et constituent de vrais sites, pour peu qu'on y change un ou deux détails. En voici les cas de figure :
Les comptes qui hébergent un site fait avec phpwebgallery dans un sous-dossier, et dont la racine ne comporte rien ou une page vide ou équivalente. Ces sites se font piéger dans le cas numéro 4 ci-dessus. Le remède, une fois la procédure de récupération d'accès suivie, est de créer à la racine une page de redirection interne (pas en javascript !) ou une page d'accueil explicative avec un lien vers le sous-dossier. Bien sûr, on peut aussi déplacer la galerie vers la racine.

Source : pagepersochezfree (par Albert Aribaud)

dimanche 13 juillet 2008

musique de disquette

Ce qui me tue sur le net, c'est de voir les idées de certains... vive la créativité!

dimanche 6 juillet 2008

Votre navigateur Web est il sécurisé?

Selon une étude publiée par un groupe de chercheurs en sécurité informatique, 637 millions d'internautes surfent sur la Toile avec une version non mise à jour de leur fureteur, les plaçant directement sous la menace d'attaques Web.

Article n° 173 - Quel navigateur web utiliser ? (120*120)Via des données récupérées auprès de Google (accès aux logs des serveurs) et de la société Secunia, un groupe de chercheurs en sécurité informatique, dont un travaillant pour la firme de Mountain View, a tenté de comprendre pourquoi autant d'attaques Web récemment perpétrées par des cybercriminels ont été couronnées de succès. Le constat est somme toute des plus simples, près de la moitié des internautes ont recours à une version non à jour de leur navigateur.

A la mi-juin 2008, les technologies de navigation les plus fréquemment rencontrées étaient constituées comme suit :
  • Internet Explorer : 78 %
  • Firefox : 16 %
  • Safari : 3 %
  • Opera : 1 %

Concernant les dernières versions utilisées, 52 % des utilisateurs naviguaient avec la version la plus à jour d'Internet Explorer, 92 % avec celle de Firefox, 70 % pour Safari et 90 % pour Opera. Ainsi, 48 % des internautes utilisaient soit une version dépassée de IE7 ou en étaient restés à IE6, qui malgré des correctifs toujours distribués ne dispose pas de toutes les fonctionnalités orientées sécurité présentes dans son successeur.

Outre le laxisme des utilisateurs, le mécanisme de mise à jour proposé par Microsoft est indirectement pointé du doigt. Il ne semble pas rencontré un franc succès. Pour preuve, la présence toujours assez importante de IE6 justement, alors même que IE7 est catalogué comme une mise à jour de sécurité. A ce titre, un rappel à l'ordre a lieu tous les mois pour les utilisateurs Windows qui opposent une résistance à la venue d'IE7 sur leur machine. Soit ils ignorent sciemment ce rappel à l'ordre, soit ils ont désactivé le système de mise à jour automatique de leur système.

Etablissant un parallèle avec l'industrie alimentaire, les chercheurs derrière cette étude préconise une date de préemption pour les navigateurs afin de mieux sensibiliser les utilisateurs, et les pousser à procéder aux mises à jour.

Source : generation-nt